Netanyahu, fils spirituel d’Hitler et du Dr Mengele, ou, quand le fils dépasse le père dans l’horreur !

14/01/2024 mis à jour: 07:33
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Trois déclarations publiques et récentes du plus grand monstre génocidaire de l’histoire de l’humanité prouvent sans contestation possible que Netanyahu est, au plan de la doctrine et de l’acte criminel, l’héritier spirituel, donc le fils d’Hitler. De fait, le fils a dépassé le père dans l’horreur. Qui plus est, Netanyahu a réveillé une rupture, longtemps cachée, mais aujourd’hui une contestation ouverte entre tenants du judaïsme originel, d’une part et, d’autre part, le sionisme usurpateur de l’histoire des hébreux.

Comme l’affirment le professeur émérite, judéo-américain, Noham Chomsky et nombre de rabbins américains et sud-africains, le sionisme est non la création des juifs seuls, mais celle des empires coloniaux anglo-français.
Mais ceci fera l’objet de mon prochain article : «Le sionisme, genèse et buts d’une organisation criminelle».
 

Tout d’abord, l’admiration de Netanyahu, à la fois discrète mais si évidente pour le Führer qu’il absout clairement de l’odieux massacre des juifs. En effet, en octobre 2015, en tant que Premier ministre d’Israël, il déclare solennellement à la tribune du 37e Congrès de l’Organisation sioniste mondiale :«Hitler ne souhaitait pas exterminer les juifs, mais seulement les expulser.» 

Ce faisant, Netanyahu voulait sans doute exprimer sa gratitude au régime nazi pour avoir, grâce à l’accord germano-sioniste dit Accord de Haavara, permis à son grand-père rabbin  lituanien de quitter son pays d’origine pour participer à la colonisation de la Palestine. 

Bien que le gouvernement d’un pays européen colonisateur ait pénalisé toute référence à cet accord, l’histoire retient que c’est sur la base du projet de Haïm Arlosoroff, chef du département politique de l’agence juive, qu’une délégation sioniste s’est rendue le 7 août 1933 au ministère de l’Economie allemand. Là, elle a signé avec le ministre nazi W.O. von Hentig l’Accord Haavara, autorisant les juifs à émigrer avec tous leurs avoirs en Palestine considérée comme «entité étrangère». Hitler, initialement critique de l’accord, lui a ensuite donné son plein soutien pour débarrasser des juifs accusés de ruiner l’économie allemande par l’usure.

Face à la réaction violente des participants au congrès pour cette déclaration scandaleuse, Netanyahu a essayé fort maladroitement d’imputer la responsabilité du revirement d’Hitler à «l’influence qu’exerçait sur le Chancelier du IIIe Reich» l’imam palestinien de Jérusalem, l’imam El Husseini.

Ensuite, Netanyahu déclarait en novembre 2023, «hier donc», dans un discours public à Tel Aviv que «la civilisation judéo-chrétienne est en guerre contre l’Islam».

Ces propos infâmes n’ont nullement ému les mondes chrétiens européen et nord-américain dans leur soutien inconditionnel à l’horreur sioniste. Ni le gouvernement de la France «fille aînée de l’Eglise», ni celui du président des Etats-Unis, si fidèle de l’Eglise de Saint Augustin à Washington – baptisée du nom de l’Algérien d’Hippone - n’ont condamné ce reniement du dialogue islamo-chrétien qui rapproche tellement l’Eglise de Jésus-Christ (faut-il le rappeler, le prophète Aïssa, fils de la vierge Meriem) de l’Islam de Seyidina Mohamed                                                                                                              
Comment un chrétien peut-il rester insensible en ce triste noël de l’an 2023 devant l’image de la statue à Jérusalem de la Vierge Marie portant dans ses bras l’enfant Jésus couvert cette fois-ci d’un linceul, symbole d’une deuxième mort du Christ sans espoir de résurrection ? Comment peut-on fermer les yeux sur l’assassinat de Palestiniens chrétiens, victimes des bombes du sionisme ? 

Ou bien Arlosoroff avait-il raison aux yeux des Occidentaux lorsqu’il disait, qu’un Arabe vaut moins qu’un rat, quand bien même cet Arabe serait-il chrétien ?

En tant que musulman, je ne peux m’empêcher d’être bouleversé par les paroles de la chanteuse libano-chrétienne évoquant le drame de Jérusalem désacralisé par les hordes sionistes : «wa estouchida es-salam fi madinati es-salam» (la paix fut assassinée martyre dans la Cité de la Paix). 

Ou encore, cette image déchirante de la Vierge Marie et de l’Enfant Jésus «wajhan yabkiyan» (deux visages noyés de pleurs). Faut-il que moi, Algérien musulman, je sois plus déchiré par la mort d’un Palestinien chrétien que ce chrétien qui est sorti de son église sanglote sur la prétendue souffrance de l’otage israélienne Mie Schem, bien briefée par les «services» du Mossad en vue de sa prestation à la télé sioniste ? Je laisse ça à vos consciences !

Enfin, comble de la sauvagerie déchaînée de Netanyahu sur les vieillards, femmes et enfants de Ghaza, l’entreprise génocidaire et inhumaine israélienne dépassent les pires cauchemars d’Hitler dans l’étalage de l’immonde criminalité. Ni le maître du 3e Reich ni le sinistre Dr Mengele n’ont égalé dans l’horreur le maître du génocide Benyamin Netanyahu qui a fait presque des nazis des êtres dignes du pardon.

J’ai visité en Pologne le camp de la mort d’Oswiecim, plus connu sous son nom germanisé d’Auschwitch. Quelle horreur que les marques du martyr de milliers de juifs, mais aussi de milliers de slaves, de tziganes, de handicapés et d’autres victimes dont le seul crime aura été de ne pas être aryens !

Mais jamais je n’aurai pensé que le sinistre Netanyahu ait pu dépasser toutes les limites de l’horreur en imaginant des crimes contre l’espèce humaine auxquels même Mengele n’aurait pensé dans le cauchemar de sa folie sanguinaire.

La soldatesque d’une armée sioniste, humiliée par la résistance de Hamas, s’est délibérément  vengée en enterrant vivants, avec ses bulldozers, des malades et blessés alités dans les hôpitaux ghazaouis attaqués et démolis par le Mossad. Si la mort, relativement rapide, d’êtres humains dans les chambres à gaz est si inhumaine que dire de la mort terriblement lente, douloureuse et atroce par suffocation sous des tonnes de terre et de gravats de civils innocents palestiniens ? 

Et pour compléter cet innommable étalage de l’horreur, le sinistre monstre Netanyahu déclare publiquement et donne l’ordre de tuer les femmes enceintes et bébés palestiniens car, dit-il, «le bébé arabe palestinien est un terroriste dès sa naissance». 

On comprend dès lors que, pour ce sioniste ennemi des principes contenus dans le message de Moïse, ce dernier lui-même autant que Jésus Christ étaient après tout des terroristes dès leur naissance. N’était-ce pas là la raison pour laquelle le Pharaon a donné l’ordre de massacrer tous les premiers-nés juifs ? Netanyahu a décidé d’aller plus loin encore en ordonnant la mort programmée du fœtus par l’assassinat de la future mère palestinienne qui le porte dans son ventre !

Tout ceci n’aurait pas été suffisant pour prouver le lien quasi génétique entre Hitler et Netanyahu n’eut été les dernières déclarations de l’ignoble génocidaire qui sont d’une menace particulièrement glaçantes pour l’avenir de l’humanité. 

Le rapport entre les penchants suicidaires du Führer et de son fils réincarné, rapport qui  relève d’une dangereuse psychopathie, devrait donner matière à réfléchir à ces puissances occidentales qui apportent un plein soutien à ce qui pourrait être un futur Armageddon. L’administration US et ses alliés commencent à percevoir l’inanité de leurs mises en garde face à un Netanyahu désormais incontrôlable mais continuent néanmoins à lui fournir finances et armes dans son entreprise génocidaire. 

Vont-ils, comme le disait si bien, et fort à propos, le Général Giap, continuer à être «de mauvais élèves qui ne tirent aucune leçon de l’histoire»  ? Comme Hitler, préférant plutôt que la défaite le suicide avec sa compagne Eva Braun dans son bunker, Netanyahu évoque la légende de Massada pour menacer le monde de la forme plus large encore du suicide collectif. 

Suivant son ministre qui a évoqué la possibilité d’user de l’arme nucléaire, le sinistre Netanyahu se voit très bien dans la peau du mythique Eléazare Ben Yaïr, chef des Sicaires qui, assiégé dans la forteresse de Massada, a décidé du suicide collectif de tous les juifs plutôt que de se rendre aux Romains.

Sous l’apparence de la normalité, Netanyahu a très certainement basculé dans la folie. Ses crises de rage en s’adressant à ses fidèles rappellent le triste spectacle d’un Führer hystérique haranguant des foules tétanisées à Berlin.

L’Administration US n’arrive plus à contrôler cet aliéné, malgré les appels et les démarches du Secrétaire d’Etat Blinken et l’appel du président Biden à la fin du conflit par la solution des deux Etats, assuré qu’il est et qu’il continuera à recevoir armes et dollars de ses mentors pour poursuivre le génocide du peuple de Palestine. Netanyahu a décidé définitivement que la seule issue est la criminelle «solution finale» pour les Palestiniens à l’image de la «solution finale» pour les juifs qu’il a héritée du monstre Hitler qu’il admire tant.

En 1938 /1939, l’Europe avait, par lâcheté, baissé la tête devant Hitler qui se préparait à l’envahir. 
Que l’Occident, l’OTAN et les pays arabes signataires des Accords d’Abraham, prennent garde à la répétition des prémices de ce qui a mené à la Seconde Guerre mondiale. 

La folie génocidaire et suicidaire de Netanyahu, dans le seul but d’échapper à la justice pour corruption, mènerait inexorablement à l’extension du conflit au Moyen-Orient, puis à l’holocauste nucléaire de l’humanité toute entière. Il est grand temps de prendre les mesures immédiates pour éviter une telle fin que nul ne souhaite et d’abord de cesser d’être complice de cette tragédie an mettant fin au soutien inconditionnel au bourreau de la Palestine.

La responsabilité de la sauvegarde de l’espèce humaine est désormais entre les mains de l’Occident et de ses alliés. En assumant cette responsabilité qu’ils se souviennent des paroles de John Donne : «La mort de tout être humain me touche car je suis l’humanité… par conséquent ne demande jamais pour qui sonne le glas ; il sonne pour toi !»

 

Par Noureddine Djoudi  , ancien ambassadeur

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