Toutes les wilayas du pays sont au rendez-vous avec les activités de la célébration de cette tradition millénaire.
Yennayer, célébration du Nouvel An berbère, s’est affirmée comme un produit touristique incontournable en Algérie. Cette fête, marquée par des rituels traditionnels, une abondance de mets culinaires spécifiques et des manifestations culturelles vibrantes, attire les visiteurs en quête d’authenticité et de diversité.
On les croyait anéantis et leur doléance définitivement satisfaite, car personne n’évoque leur cas, et ce, depuis longtemps. Ils habitaient des maisons de fortune datant de l’ère coloniale.
Fermé depuis juin 2021, le marché de voitures d’occasion de Tidjellabine, dans la wilaya de Boumerdès, va rouvrir incessamment. L’annonce a été faite récemment par le wali, Fouzia Naâma, précisant que ce marché générait d’importantes ressources financières à la trésorerie communale.
En quittant la ville de Boghni, vers le sud de l’agglomération, une plaque de signalisation indique que Tala Guilef est à 15 kilomètres. «Cela vaut le coup d’y aller», nous dit un citoyen à qui nous avons demandé comment s’y rendre. Nous avons ainsi pris la route vers ce site touristique en empruntant la RN 30 B en passant par Ath Mendès.
-Malgré la dégradation de la route, beaucoup de gens préfèrent se rendre à Tala Guilef. Comment voyez-vous ce regain d’intérêt affiché par les visiteurs pour cette zone touristique ? L’accès à Tala Guilef se fait via la route nationale 30 B qui est certes dégradée. Elle n’a pas été réhabilitée parce qu’il y a encore des travaux au niveau de l’hôtel qui seront achevés dans peu de temps. Une fois ce complexe mis en service, ce tronçon connaîtra une opération de revêtement et d’entretien. Avec la relance de l’activité hôtelière à Tala Guilef, il y aura beaucoup d’améliorations. Le tronçon routier sera également refait de façon à permettre aux visiteurs de s’y rendre sans difficultés. C’est juste une question de temps. Effectivement, il y a beaucoup de gens qui viennent à Tala Guilef durant toutes les journées de la semaine, et ce, pour la plupart dans le cadre des randonnées organisées par des agences de voyages. Toutefois, il est important de souligner qu’il y a des groupes qui, une fois partis le soir, laissent leurs déchets partout dans la forêt, ce qui empeste l’environnement. Il y a des dépotoirs qui se multiplient dans le site et défigurent le paysage.
Mohamed Nadjem Toukhtoukh, 40 ans, magistère en sociologie du savoir, adore partager ses expérimentations agricoles avec les autres. Il prône une agriculture oasienne moderne et raisonnée autour du palmier dattier et des semences paysannes locales qu’il produit lui-même et propose à la vente chaque samedi.
Le 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) se poursuit au Palais des expositions des Pins maritimes, à l’ouest de la capitale, avec l’organisation de plusieurs rencontres, débats et vente-dédicaces.
A travers pratiquement tout le continent, la presse et les journalistes traversent un sale temps. En matière de liberté de presse, l’Afrique connaît une régression d’au moins une dizaine d’années.
l Une jeune équipe d’innovateurs passionnés et talentueux, représentant l’Algérie à l’échelon international, a pris part ce samedi à la cérémonie du lancement officiel du concours FIRST Global Challenge 2023 qui se tient à Singapour du 7 au 10 octobre courant et/où des équipes de plus de 191 pays participent à un évènement mondial de robotique organisé par le groupe américain à but non lucratif FIRST Global.
Monument historique d’envergure, sur la route nationale n°3, aux abords de la commune de Nezla, dans la wilaya de Touggourt, Bordj Rannou continue à dépérir à vue d’œil en l’absence d’un plan de prise en charge et de réhabilitation.
Faire une escapade dans le Sahara serait impensable en cette période de canicule, pourtant ces températures élevées ne sont point dissuasives pour les amateurs d’aventures, surtout que l’attraction en vaut la peine : un lac en plein milieu de la palmeraie.
Les capacités d’accueil touristiques dans la wilaya d’Ouargla ont été renforcées de 150 nouveaux lits suite à l’entrée en service d’une nouvelle structure hôtelière au chef-lieu de la wilaya, a-t-on appris au début de la semaine de la direction du tourisme et de l’artisanat (DTA).
On peut noter un drôle de contraste entre l’animation de folie qui prévaut à l’est d’Oran en nocturne (où on a l’impression que la ville ne dort jamais) et le centre-ville qui, lui, fait grise mine, avec ses rues de Larbi Ben M’hidi et de Khemisti, presque désertes dès 22h, si ce n’est les quelques bistrots qui font de la résistance en restant ouverts jusqu’à minuit.
Le village martyr d’Ath Oussalah, dans la commune de Toudja, s’est avéré trop exigu pour contenir les milliers de personnes qui sont venues des quatre coins de la wilaya, et parfois de régions lointaines du pays, pour assister à l’enterrement des victimes des incendies du 24 juillet dernier.
Chaque année, des millions de bêtes sont sacrifiées lors des fêtes religieuses et autres occasions, dont les mariages. Cependant, des centaines de milliers de précieuses peaux, notamment de mouton, sont jetées, privant ainsi toute une industrie d’une matière première presque gratuite. Le marché mondial du cuir pèse près 250 milliards de dollars et les prix de la matière première ont connu une augmentation ces dernières années.
De malheureux satellite de Constantine, la villenouvelle s’est affranchie manifestement pour se forger une identité propre envers et contre tout, contre tous ceux qui ont misé sur son échec.
Abdelouahab Bouchareb est enseignant-chercheur en architecture et urbanisme, professeur des universités à Constantine-3, Salah Boubnider. Dans cet entretien, il nous explique la dynamique fulgurante d’Ali Mendjeli et note, entre autres, que des éléments urbains, comme les deux universités, le tramway, la culture de la livraison à domicile, et le rythme «urbain» (la vie nocturne) impriment à cette ville nouvelle une vocation de ville pour «jeunes».
Par une journée ensoleillée du mois de mai, après une semaine de froid et de pluies, nous avons pris la route vers le lotissement de Sidi Amor, situé entre les communes d’El Khroub et Ibn Badis (El Haria), à environ 25 km au sud-est de Constantine. Un lieu calme, paisible et surtout propre.
Scènes inédites à Batna. Depuis le début du Ramadhan, les quartiers de la ville sont sillonnés par des camions-citernes de l’Algérienne des eaux (ADE) qui viennent remplir réservoirs et jerricans depuis que l’eau ne coule plus dans les robinets. Des engins, dont la plupart sont empruntés aux wilayas d’Oum El Bouaghi, Constantine et Béjaïa, sont acheminés pour parer à l’urgence.