Quinze heure tapantes, la coupole Mohamed Boudiaf d’Alger est comble. Le public est déjà en place, plus aucune place de libre. C’est à peine 13h passées que l’accès était déjà ouvert. Salle d’une capacité de 15 000 spectateurs pour les concerts n’a pas suffi pour contenir le public très nombreux, constitué essentiellement de familles, contraintes d’occuper les allées, dont certains sont restées debout, mais aucun incident à signaler.
Le coût des cours particuliers de soutien diffère de la wilaya, de la région, de la matière, du timing et également de l’enseignant.
Le phénomène est indécent moralement et toxique sur le plan pédagogique.
L’examen d’évaluation des acquis des élèves (5e) dans son nouveau format sera organisé en deux parties, a affirmé le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed, mardi lors de l’ouverture de la conférence nationale avec les directeurs d’éducation. La première partie est programmée en avril.
Le changement climatique et la dégradation de l’environnement représentent aujourd’hui, selon l’Organisation internationale du travail (OIT), des défis significatifs en termes de croissance et d’emploi. Les risques seront, selon Mustapha Kamal Gueye, directeur du programme d’action prioritaire sur la transition juste au Bureau international du travail (BIT) à Genève, de plus en plus importants à moyen et à long termes.
Au premier jour des vacances scolaires, les établissements, tous paliers confondus, étaient ouverts pour dispenser des cours de remédiation au profit des élèves en difficulté, tel que recommandé par le ministère de l’Éducation nationale dans sa circulaire ministérielle du 15 décembre.
En tant qu’agence de développement de l’Union africaine Auda-Nepad, nous avons eu des discussions sur les systèmes alimentaires, le plan directeur d’électrification de l’Afrique, les énergies renouvelables et également l’accès à l’eau.
Les résultats définitifs seront communiqués lors de la rencontre habituelle enseignants-parents, prévue ce jeudi 21 décembre, en attendant les conseils de classe qui se tiennent à partir d’aujourd’hui.
Dans cet entretien, Ibrahim Thiaw, secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD), revient sur la lancinante problématique de lutte contre la désertification. Rencontré en marge des travaux de la COP28 à Dubaï, il estime que les questions liées à la sécheresse ne sont pas assez débattues lors des différentes conférences des parties des Nations unies pour le changement climatique. Selon lui, les pays affectés ont plus que jamais besoin aujourd’hui de mettre tous les moyens nécessaires pour une lutte efficace contre ce phénomène naturel. Des efforts sont à faire pour répondre aux besoins de 1,8 milliard de personnes souffrant de la sécheresse à travers le monde.
Les négociations s’annoncent serrées à quelques jours de la fin de la Cop28 à Dubaï. Les experts, qui se sont penchés sur les aspects techniques, ont rendu leur rapport mercredi dernier. Les discussions entre les délégations de différents pays portent désormais sur les sujets qui «fâchent» et qui sont du ressort des ministres.
L’urgence est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une priorité absolue pour la planète afin d’éviter que le changement climatique ne devienne incontrôlable.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
Les faits suggèrent que deux fois plus de personnes vulnérables peuvent être sauvées au même coût en déployant des ressources avant la catastrophe. Cette charte fixe les principes d’une action collaborative pour garantir une meilleure utilisation du financement pour gérer les risques et protéger les populations des pays vulnérables. Les coûts annuels de pertes et de dommages associés au climat varient entre 290 à 580 milliards de dollars.
Les pays africains subissent le désastre du changement climatique et la pollution mondiale sans qu’ils soient en contrepartie accompagnés pour développer leurs mesures d’adaptation et assurer un avenir stable. L’avenir risque d’être compromis.
La 28e Conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) s’est ouverte jeudi à Dubaï. Hier, plus de 140 chefs d'Etat ont défilé à la tribune pour des discours de quelques minutes. Une manière de donner une impulsion politique aux négociations. Des représentants iraniens ont quitté d'ailleurs les lieux pour protester contre la présence d'une délégation de l'entité sioniste.
Marquant le premier bilan mondial qui évaluera les progrès concernant l’accord de Paris (COP 21), la COP 28 qui s’ouvrira aujourd’hui à Dubaï.
L’introduction de l’anglais en tant que langue d’enseignement à l’université se fait d’une manière graduelle.» C’est ce qu’affirme, à El Watan, Ahmed Belhani, représentant du ministre et président de la Commission nationale de l’enseignement à distance (Cnead). Il est encore trop tôt, selon notre interlocuteur, pour parler de bilan.
Les inscriptions au baccalauréat (bac-2024) en qualité de candidat libre sont ouvertes, depuis hier. L’annonce a été faite hier par l’Office national des examens et des concours (ONEC) qui précise que le délai d’inscription est ouvert jusqu’au 21 décembre prochain.
Un hiver plus chaud que la normale en Algérie et des températures plus élevées avec une probabilité que la saison soit sèche. C’est ce à quoi s’attendent certains centres régionaux, notamment méditerranéens, de météorologie. Les pluies saisonnières, à l’instar des trois dernières années, se font rares. Avec des températures printanières à la mi-novembre, l’automne trouve du mal à s’installer !
Le ministre de l’Education nationale a insisté sur la nécessité de répondre aux besoins des établissements scolaires en matière d’équipements.