Témouchent, une wilaya classée région semi-aride, est en passe d’être déclarée aride, en raison de choix politico-idéologiques et non pas économiques, a-t-il été rappelé, la céréaliculture, spéculation gloutonne en pluviosité, ayant couvert l’essentiel des surfaces agricoles par la suppression de la viticulture plus adaptée tant au plan pédologique que climatique à la région, ce qui a fait disparaître l’humide microclimat qui régnait localement.
Guitare en main, chaque fois que de besoin, il illustre son propos pour le plus grand plaisir de notre oreille. A un moment, il entonne dans une prenante et mélodramatique tonalité, mais sans emphase, Darou sehour, darou (Ils ont osé la sorcellerie), dans un remarquable timbre de voix, voguant délicieusement sur une crête entre asri wahrani et raï, un tube dont il a fait cadeau à Khaled au tout début des années 1980 à la faveur de leur compagnonnage artistique.
La rencontre qui a regroupé l’APW et la société civile en fin de semaine écoulée a constitué une première en ce sens que ce type de rencontre avec le mouvement associatif s’effectuait jusque-là à l’initiative du chef de l’exécutif de wilaya ou de ses directeurs, ces deux instances disposant du pouvoir de décision en matière de développement local, l’objet de l’ordre du jour de la rencontre.
Si en 2022, la lutte contre le commerce illicite des stupéfiants en milieu urbain s’est conclue par 255 affaires, ce nombre s’est démultiplié en 2023 pour atteindre celui 774 affaires.
Menée tambour battant, censurant les soporifiques assertions qui meublent par l’autosatisfaction les rapports présentés, l’évaluation de la campagne labours-semailles a tranché cette année dans sa démarche. C’est qu’elle s’inscrivait dans le cadre des nouvelles prérogatives des walis.
« Goût de terroir » est à vrai dire inclassable comme texte. Il n’est ni une œuvre romanesque, ni un essai, mais relève plutôt du récit-témoignage teinté de nostalgie sur un temps qui fut, dans les alentours du milieu du 20ème siècle, celui des jeunes années de l’auteur, mais sans être autobiographique. Boualem Belhadri, son auteur, un ingénieur hydraulicien ayant également exercé en tant que collaborateur de plusieurs journaux, s’est mis à l’écriture longue, à l’heure de la retraite. Il en est à son troisième titre.
La wilaya de Aïn Témouchent s’apprête à dépasser la gestion de la saison estivale dont l’objectif se limite à contribuer au maintien de la paix sociale dans le pays. Ainsi, sur une zone de ses 120 km de littoral, celle de Rachgoun, elle vient d’initier une démarche pilote complémentairement à la mise en place récemment d’un EPIC pour assurer la préservation et la valorisation de Layella, l’île qui lui fait face.
Le Maroc a obtenu à sa demande l’inscription du melhoun, «élément de référence incontournable de l’identité culturelle marocaine ancienne», comme patrimoine immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco, selon des sites d’information marocains.
Dans le détail, la régression des revenus se situe concomitamment à la baisse progressive du revenu de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP), une taxe supprimée dans la loi des finances 2024 afin, est-il escompté d’encourager l’investissement dans le pays.
Dans le cadre de la lutte contre les délits de cybercriminalité, la brigade spécialisée de la Police Judiciaire d’Aïn Témouchent a procédé à la surveillance de deux pages Facebook.
Le dragage du port de Béni Saf, entamé en septembre dernier, doit théoriquement s’achever en fin d’année, après l’extraction d’un volume de 270 000 m3 de sable. Interrogé, le directeur des travaux publics indique que les travaux ont actuellement atteint 70% de taux de réalisation alors que de nouvelles projections ont été arrêtées afin de pousser l’extraction du sable jusqu’à 310 000 m3.
L’autorisation de baignade à la plage de Sidi Safi que domine le mausolée de ce saint tutélaire de la ville de Béni Saf devient enfin envisageable au grand bonheur des estivants comme de ceux qui ont pour souci la défense de l’environnement.
l C’est une première nationale par laquelle se distingue la wilaya de Témouchent en créant un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) pour assurer la préservation d’une zone protégée, en l’occurrence l’ile de Rachgoun, qui présente un triple intérêt écologique, historique et économique.
Le superbe documentaire L’olivier sauvage qui porte sur le fameux cabaret sauvage et Méziane Azaiche, son hors norme fondateur et directeur, vient de décrocher la mention spéciale du Grand Prix Kilimandjaro Documentaire de la 10e édition du festival Africlap de Toulouse.
2,100 kg de kif traité ont été saisis ainsi que l’arrestation d’un individu effectué par la brigade de lutte contre le commerce illicite des stupéfiants ainsi qu’un montant de 958 000 DA résultant de son activité criminelle.
Pour la relater, elle s’offre les services d’une aventurière qui s’y rend afin d’entamer une nouvelle vie en cet alléchant Eldorado que décrivaient les marins faisant escale en sa déshéritée Sicile. Plébéienne réduite contre son gré à l’état d’esclave sexuelle, elle vient de s’en extraire par une manigance vengeresse, gagnant une fortune et s’adjugeant, grâce à de vrais-faux papiers, un titre de noblesse et un nom kilométrique afin de mieux mystifier ses protagonistes à venir.
Après de nombreux et rocambolesques rebondissements, le hold-up sur 58 ha du domaine privé de l’Etat à Béni Saf, rapporté sur ces mêmes colonnes (El Watan du 23 avril 2014), vient de connaître un premier dénouement devant la cour de justice d’Aïn Témouchent.
Huit individus constituant une bande organisée dans le commerce de psychotropes, kif et boissons alcoolisées ont été arrêts au niveau du chef-lieu de wilaya.
Bien que l’automne s’installe peu à peu et que les écoliers ont repris le chemin de l’école, les noyades n’ont pas cessé, tous les estivants n’ayant pas déserté les plages. Ainsi, un baigneur a disparu depuis jeudi dernier.
Ce qui émerge peu à peu d’un flot d’images gorgées d’une violence inouïe, à force d’une spectacularité extrême, c’est l’insistance non sur la témérité des combattants turcs mais sur une bestialité qui leur est prêtée par leurs gestuelles et leurs hurlements de fauves.